红日东落第二版第三章(12)
2024-04-12 来源:百合文库
- Pas seulement la couture, répondit-il avec un léger sourire, aussi de la soudure.
- Laisse tomber tes rimes, dit-elle, et Hanlin va venir demain ?
- Le train arrivera dans 18 h.
Elle se leva et retourna dans sa chambre avec un profond bâillement et réouvrit la porte pour rappeler à Shengjing de porter le brassard jusqu’à la funérailles de la grand-mère de Qingshan.
Quelques heures plus tard, quand Shengjing cogna à la porte de l’appartement de Qingshan, il entendit des craquements qu’il imaginait venir du vieux canapé datant de la dynastie Qing. Pendant qu’il était en train de réfléchir comment les parents de son ami ont pu transporter un meuble aussi gigantesque à travers l’océan, Qingshan apparut à la porte en se massant la hanche, montrant qu’il a sans doute passé la nuit sur le canapé. Des cernes pâles avaient apparu sous ses yeux et ses cheveux, huileux à un point qu’on pourrait cuisiner des frites, couchaient sur sa nuque avec un genre de fatigue profonde. La visite de son ami ne le surprit pas et l’invita à s’asseoir dans le salon en ouvrant grandement la porte avec un bâillement.
Ses parents se trouvaient en ce moment en Chine et seulement Qingshan vivait dans cet appartement à trois chambres, dont le plus petit servait de bureau à son père. En face de la porte du bureau, se trouvait la chambre de Qingshan, avec un poignet à verrou que le jeune homme avait mis en place pour protéger une raison inconnue. Une odeur de bois ancien régnait dans l’atmosphère du salon, prouvant à tous les visiteurs l’âge et l’importance des fournitures antiques dans la pièce. Vue d’ensemble, l’appartement était dans un ordre assez minimaliste, avec seulement quelques meubles principaux pour les utilisations quotidiennes, si on ignorait l’état dans la chambre de Qingshan.
- Laisse tomber tes rimes, dit-elle, et Hanlin va venir demain ?
- Le train arrivera dans 18 h.
Elle se leva et retourna dans sa chambre avec un profond bâillement et réouvrit la porte pour rappeler à Shengjing de porter le brassard jusqu’à la funérailles de la grand-mère de Qingshan.
Quelques heures plus tard, quand Shengjing cogna à la porte de l’appartement de Qingshan, il entendit des craquements qu’il imaginait venir du vieux canapé datant de la dynastie Qing. Pendant qu’il était en train de réfléchir comment les parents de son ami ont pu transporter un meuble aussi gigantesque à travers l’océan, Qingshan apparut à la porte en se massant la hanche, montrant qu’il a sans doute passé la nuit sur le canapé. Des cernes pâles avaient apparu sous ses yeux et ses cheveux, huileux à un point qu’on pourrait cuisiner des frites, couchaient sur sa nuque avec un genre de fatigue profonde. La visite de son ami ne le surprit pas et l’invita à s’asseoir dans le salon en ouvrant grandement la porte avec un bâillement.
Ses parents se trouvaient en ce moment en Chine et seulement Qingshan vivait dans cet appartement à trois chambres, dont le plus petit servait de bureau à son père. En face de la porte du bureau, se trouvait la chambre de Qingshan, avec un poignet à verrou que le jeune homme avait mis en place pour protéger une raison inconnue. Une odeur de bois ancien régnait dans l’atmosphère du salon, prouvant à tous les visiteurs l’âge et l’importance des fournitures antiques dans la pièce. Vue d’ensemble, l’appartement était dans un ordre assez minimaliste, avec seulement quelques meubles principaux pour les utilisations quotidiennes, si on ignorait l’état dans la chambre de Qingshan.